Lycée Professionnel Arthur Rimbaud

Photos - Le Lycée - L'architecture

Plan du lycée

Voici une présentation des plans du lycée dans sa globalité. Cela comprend les 2 étages des bâtiments.

Architecture du lycée

L’architecture du Lycée Professionnel Arthur Rimbaud de Ribécourt, inauguré en 1987, a été étudiée par le cabinet ARVAL (Atelier d’architecture du Valois) basé à Crépy-en-Valois.

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Les contraintes initiales, sur une parcelle de 3,7 hectares, étaient induites par :

– la proximité d’un bâti existant très disparate d’une part (pavillons récents, maisons « bourgeoises » plus anciennes, ferme);

– la proximité immédiate d’une zone agricole cultivable d’autre part, le tout dans le contexte plus global d’une petite commune ayant encore à l’époque un caractère franchement villageois.

  Les partis pris architecturaux du projet ont donc répondu à deux impératifs majeurs :

– faire le lien entre une zone urbaine, même un peu dense, et zone agricole en privilégiant une architecture de faible hauteur qui s’insère mieux dans le paysage (seul le bâtiment de l’internat possède trois niveaux).

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– mettre en avant une architecture très contemporaine en privilégiant des volumes strictement géométriques mais différents (cubes, ébauche de pyramide, courbes et cylindres) correspondant à chaque fois à un espace dévolu à une fonction.

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Ces volumes sont structurés autour d’une cour intérieure triangulaire, où les formes et les tracés triomphent, mais qui apporte à l’ensemble une certaine unité. La sévérité de la teinte dominante des bâtiments est visuellement neutralisée par le jeu des ruptures de forme qui évite la monotonie. Le bâti au sol mobilise environ 15 000 m2

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En forme de clin d’œil (un peu attentif), certains bâtiments s’inspirent de formes très anciennes (péristyle et fronton de temple grec, par exemple) revisitées par un traitement stylisé ultramoderne.

L’espace réservé aux circulations extérieures et aux déambulatoires intérieurs a été volontairement surdimensionné. La luminosité intérieure, importante, est assurée par l’utilisation fréquente de verrières sommitales.

En résumé, une réalisation architecturale s’efforçant de répondre habilement à des contraintes initiales incontournables, de prime abord un peu froide, voire austère, mais très élaborée, très diversifiée et intérieurement très fonctionnelle.

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